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Foutaises et insomnies .
8 mai 2010

Cafarnaüm Cérébral qui sillonne l'Atlantique.

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C'est comme si j'étais sous ombrelle.
Un parallèle incroyable de la ténacité incompréhensible et la marmite malgache. Peut être un peu de café noir? Non merci, monsieur jojo l'asticot n'apprécie pas les pneus en tergal (ou terres galles, nous n'en savons rien après tout, mon gilet est gris). Mais si le lama du campus arrive parmis nous et chante du Barry White, alors là c'est un misterbe en gallager. Je suis consciente que le canapé dépende du mariage des Petterson, mais seulement dès que j'essaye de zapper sur monproduitapluscher.com, bah c'est possible que ce soit la fin des flageolets. Les astuces en dégagent des fumées odorantes, et puis sa peau d'orange de s'arrange pas du tout. Père noël dans le cagibi. C'est l'histoire d'une poutrelle qui voulait manger des salsifis. Sauf que les babybels ils aiment pas trop que Linkin Park leur mange du blé. Il paraît que c'est pas cool pour une sandale. Mais si c'est ça, je pense qu'il vaut mieux cramer des jeunes gourgandins. Alors à ce propos, que pouvez vous me dire de la sensibilité chez Aimé Césaire, dans sa période foutre? Ahah. Ne sommes nous point des parapluies cannibales? Et BOUM UN BUT, HEIN. C'pas vrai. Mais sinon c'est plutôt hibou. Arrêtons ces ménageries ou nous finirons par aller déguster des buissons. 

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Commentaires
B
C'est une affaire de point de vue. Parce que si tu t'attardes sur la probabilité qu'une imprimante se suicide brutalement d'un platane avec des sandalettes, c'est toute la réflexion qui en devient plus ou moins commune. Surtout si Baudruche était sous le platane, car sans ses ballons, nous ne sommes plus rien. Oui, oui, oui, je le dis, je l'affirme et le prétend, Nous sommes tous vivants. Qui osera me contredire? J'en ai la preuve, puisque vous n'êtes pas morts. Alors, oyez braves gens, que les mouchoirs blancs vous gardent, et ce jusqu'à ce que vous vous fassiez écraser par une Citroën C4 à l'angle de la rue du boulevard Hicèle.
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